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Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais ce qui m'attend.
J'irai par l'autoroute, j'irai par la Champagne.
Je ne puis demeurer loin de l'AVN plus longtemps."*
Aujourd'hui, dans l'Aube, j'ai dégusté. Du bon vin. Sans soufre, pour bon nombre d'entre eux. Sans filtre. Sans levures artificielles. Et puis j'ai rencontré plein de vignerons sympathiques. Des vignerons de la France entière, installés entre deux salades, entre deux huîtres, entre deux andouillettes, en compagnie du maraîcher, du poissonnier, du boucher. Voire du garçon-boucher, particulièrement assidu à tous les stands. Une ambiance unique, où l'on pouvait manger sur le pouce en sirotant un verre proposé par le vigneron.
Le vin vendu à la criée, il n'y a qu'à Troyes que l'on voit ça!
Y'a pas! Où y'a l'AVN, y'a du plaisir!
Olif
* avec la contribution bien involontaire de Victor Hugo!
Voilà pourquoi on t'as pas vu à St Aubin !!
Rédigé par : docadn | 10 décembre 2007 à 07:32
Troyes, ce n'est déjà pas tout près de chez moi, alors Saint-Aubin, je ne te dis pas! Dur de faire l'aller-retour dans la journée!
Rédigé par : olif | 10 décembre 2007 à 08:31
Ce bon François, ça ne serait pas plutôt la bière qui est comme son frère?
Rédigé par : Estèbe | 10 décembre 2007 à 09:41